1ere remarque, c’est un truc tout con, mais n’oublieR avec un
R à la fin, ça m’a chiffonnée pendant toute la lecture ! Mais bon, passé
ce détail, on retrouve rapidement l’ambiance Bussi.
Comme toujours, l’histoire est tordue à souhait, et, comme
toujours on est littéralement happés par l’intrigue. Dès qu’on lâche le livre,
parce que parfois il faut le lâcher (si, si, des fois il faut aller faire à
manger ou, pire, aller travailler et cela entrave notre lecture : oui, je
sais, c’est nul !) donc quand on est obligés de lâcher le livre, on
réfléchis : et si c’était pas lui le coupable ? Et si Jamal était
dingue ? On imagine, on psychotte et au final : on à tort ! Car,
comme toujours chez Michel Bussi, on est surpris par le dénouement. On n’avait
rien vu venir (pas tout en tout cas, je suis une fan d’Agatha Christie, faut
pas me la faire) et on se dit : bon sang, mais c’est bien sûr ! A ce moment-là,
tout le récit, toutes les interrogations, tous les faits prennent une nouvelle
dimension…
L’histoire : Jamal, un jeune de banlieue, est un coureur
de haut niveau, qui malgré une prothèse à la jambe ambitionne de faire l’ultra-trail
du Mont Blanc. En vacances à Yport, il part s’entrainer sur les falaises où il
croise une jeune femme suicidaire. Jamal tente de la sauver en lui tendant une
écharpe rouge, mais la femme bascule. Quelques secondes plus tard, Jamal trouve
le corps de l’inconnue l’écharpe rouge enroulée autour du cou…
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