On vous le dit, on vous le répète : bien mal acquis ne
profite jamais !
Tout le monde s’en fiche et pourtant c’est vrai.
Hier, avec l’ado-naissante on a séché l’école. C’était lundi,
on était fatiguées, il faisait froid dehors et chaud dans le lit. Et puis
surtout y’en a marre de se lever avant jour : Révolution ! On est
resté couchées !
Au diable le cours de musique et celui de sport, faisons plutôt
la grasse-matinée.
Hé là… le foirage intégral.
A 6 h 40, le réveil a sonné. On lui a dit de la fermer et on
s’est rendormies.
A 7 h 15, papy a téléphoné. Pour savoir si on avait bien mis
le chocolat dans le papier d’alu (ou peut-être pour autre chose de plus
important… en fait j’en sais rien, j'ai rien écouté). On a marmonné, ronchonné et on s’est
rendormies péniblement.
A 8 h 10, le collège a SMSer pour dire que l’ado était pas
là. Et comme on a ignoré le 1er SMS, y’en a eu un 2e !
Alors de guerre lasse (et de mauvais humeur) on s’est levées
et on s’est dit : grasse-mat volée, grasse-mat foirée parce qu’on vous l’a
répété 1000 fois : bien(-être) mal acquis ne profite jamais !
Andréa, levée du pied gauche
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