Avant-hier, je me suis démoli le genou. Alors tant qu’à
aller chez le docteur, je lui demande de me marquer un antihistaminique pour
mon allergie.
Je clopine jusqu’à la pharmacie et rentre à la maison où je
fais le tri des médocs avant de les prendre.
J’étale sur la table les petites boites aux noms étranges
(1), et là, je découvre les génériques qu’on m’a refilé. C’est génial les
génériques : quand est bien habitué au nom barbare d’un médoc, paf !
On vous refile le générique. Autre nom, autre packaging, autre couleur, autre
labo : l’idéal pour se planter.
Depuis le temps j’ai l’habitude de mon antihistaminique et
de son générique. Mais là, c’était encore un nouveau. Alors dans le doute, je
lis la notice, le papier plié en 72 dans la boite et ô surprise :
C'est un médicament pour la prostate... J’ai une prostate ?! Merde alors !
Ma mère qui me dit : "Peut être que ça soigne les deux ?" Mais bien sur...
A choisir, je ne donnerai pas un antihistaminique a quelqu'un qui n'arrive pas a faire pipi, s'il éternue ... ça peut peut-être débloquer la situation...
Le plus fun dans cette histoire c'est que la pharmacienne me refile un médoc pour homme et ça ne la choque pas ... Je ne sais pas comment je dois le prendre...
Ma mère qui me dit : "Peut être que ça soigne les deux ?" Mais bien sur...
A choisir, je ne donnerai pas un antihistaminique a quelqu'un qui n'arrive pas a faire pipi, s'il éternue ... ça peut peut-être débloquer la situation...
Le plus fun dans cette histoire c'est que la pharmacienne me refile un médoc pour homme et ça ne la choque pas ... Je ne sais pas comment je dois le prendre...
(1)
J’ai une théorie sur le choix du nom des médicaments : l’élaboration des
médicaments, c’est un peu chiant, alors pour se détendre, les scientifiques
jouent au Boggle, pour trouver les noms. Ils secouent les lettres, lancent et
hop ça fait un mot. « xyzabonk ? » « Ok, super, j’adore !
Adjugé. »
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